dimanche 27 octobre 2013

lundi 21 octobre 2013

jeudi 17 octobre 2013

lundi 14 octobre 2013

Attention, si vous avez votez à droite.... vous n'êtes pas Français.... enfin c'est ce que j'en déduis des dires de Ayrault quand il expose dans un discours que "François Hollande était arrivé troisième au premier tour de l'élection présidentielle avec environ 20 %. Donc, Brignoles, ce n'est pas la France"...

http://www.lepoint.fr/politique/brignoles-jean-marc-ayrault-accuse-les-dirigeants-de-l-ump-14-10-2013-1743779_20.php

dimanche 13 octobre 2013


mardi 8 octobre 2013


Oui oui, vous avez bien lu ! Il est possible de procéder au Hack d'une clé USB TNT pour en faire un récepteur SDR. Autrement dit découvrez le monde de l'écoute du spectre Hertzien pour moins de 30€ , à vous l'écoute de l'aviation civile, des réseaux professionels et amateurs et du décodage des signaux numériques en tout genre !!

Mais qu'est-ce que le SDR ? Software Defined Radio ou Radio Logicielle en Français est un récepteur et éventuellement émetteur radio réalisé principalement par logiciel et dans une moindre mesure par matériel. Les traitements qui suivent peuvent ensuite être réalisés de façon logicielle : filtrage, décimation, démodulation, décodage, … Ces traitements sont réalisés à l'aide d'un microprocesseur dédié au traitement du signal (DSP, digital signal processor) ou directement sur le processeur d'un PC traditionnel. Cela confère une universalité et une grande adaptabilité à l'émetteur/récepteur. En effet, il suffit de changer ou d'adapter le logiciel pour fonctionner avec un système radio différent.
Dans un système radio classique, l'émission/réception est assurée par des composants matériels (oscillateurs, filtres, … ) spécifiques et adaptés aux systèmes auxquels il est destiné. Il n'est donc souvent pas possible d'utiliser d'autres systèmes sans changer le matériel et donc l'intégralité du récepteur.
(source wikipedia)

A titre d'exemple les BTS des réseaux de téléphonie mobile fonctionnent avec la technologie SDR, c'est pour cela que l'upgrade de la norme GSM à la norme UMTS (3G) à été réalisée sans le remplacement du matériel radio mais juste par mise à jour logicielle.

Revenons donc à notre clé TNT, il se trouve que certains modèles fonctionnent avec un tuner très large bande (de 64 à 2300MHz environ) et un chipset RTL2832U pilotable en SDR avec les logiciels et drivers qui vont bien. La clé TNT que j'ai utilisé pour ce test est une clé Terratec Cinergy T Stick RC (version LB Révision 3), on la trouve pour moins de 30€ dans des enseignes grand public ou sur le web, c'est cela qui est intéressant : le détournement d'un matériel accessible à tous pour en faire quelque chose qui parait à la base onéreux .



Attention a la version, LA et LB c'est OK mais certaines non apparemment…


Et la partie qui nous intéresse :



On voit ici le chipset RTL2832U qui nous intéresse ainsi que le tuner E4000 qui est apparemment plus sensible que les autres.

Pour la partie logiciels et drivers, j'ai réalisé mes premiers essais sous Windows, c'est relativement bien documenté et l'on trouve des tutos partout sur le web. J'ai donc procédé aux tests avec principalement le logiciel SDR# gratuit et vous ai fait une petit vidéo d'exemple d'écoute et de décodage de signaux. Cette liste n'est pas exhaustive bien sur, vous n'imaginez même pas tout ce qu'il est possible de faire et d'écouter avec un tel récepteur allant de 28MHz à 17000MHz …
Si vous le souhaitez je réaliserai un tuto pour l'installation de la clé avec le patch des drivers pour faire du SDR aisni que l'installation du logiciel. Tout ceci est bien entendu possible sous GNU/Linux puisque tous les outils nécessaires existent et je vais m'y atteler rapidement

Une précision également concernant la vidéo, les essais sont fait avec une antenne de type colinéaire VHF/UHF qui est plus adapté et qui à plus de gain que la petite antenne magnétique fournie avec la clé USB TNT (mais qui fonctionne tout de même en VHF et UHF). Si vous souhaitez vous lancer dans le monde de la réception radio et de l'écoute sachez qu'une antenne est souvent très simple à réaliser avec des matériaux grand publique, encore une fois le web est plein d'informations à ce sujet !

La vidéo avec quelques exemples : Broadcast FM , Radioamateurs en VHF, décodage POCSAG des réseaux pompiers et emessage, décodage packet 1200 sur le réseau APRS radioamateur, aviation civile et quelques exemple de trames numériques pour les réseaux TETRA et TETRAPOL de la Police Nationale (les flux sont bien entendus chiffrés dans ce cas).

Liens et ressources :
Liste des clés TNT compatibles
Tuto d'installation des drivers et du logiciel SDR#Sous GNU/Linux
Le wiki de RTLSDR

http://www.spiwit.net

lundi 7 octobre 2013

dimanche 6 octobre 2013

Extrait d'une page trouvé sur le site internet http://www.geocaching.com

Superbe vue sur le vallon de Wuenheim, le HWK….Possibilité de croiser des chamois sur ce parcours qui fait partie des plus beaux de ce massif.
 
Les lieux. Nous allons parcourir des positions françaises de la première Guerre Mondiale dans le vallon du Gutenbach (« Bonnegoutte »), dont le chemin mène au Freundstein, mais nous n’irons pas jusque là. Nous resterons dans le secteur dit Hartfelsenschloss (HFS), du nom d’un éperon rocheux où se dressait autrefois un château-fort. Le secteur du HFS (nommé un jour « Rochedure » par les soldats) constituait pour les Français une position intermédiaire entre le Hartmannswillerkopf (HWK) et le Sudelkopf, ces deux enjeux âprement disputés par les belligérants. L’endroit fut occupé dès les premiers mois de la guerre par des unités de la 66e division d’infanterie et devint, à partir de décembre 1914, un secteur structuré du front, où se succédèrent des unités des 66e puis 46e divisions d’infanterie, en particulier des bataillons de chasseurs alpins (BCA). Le secteur HFS avait deux fonctions principales : observation et surveillance des pentes Nord du HWK occupées par les Allemands, puis protection de l’accès au Freundstein, barrant le passage vers la vallée de la Thur. La découverte. Près du parking, à l’entrée du vallon du Gutenbach, se dresse la croix Zimmermann ; nous nous engageons sur le chemin en direction du Freundstein. Un peu plus loin, voici, de part et d’autre du chemin, deux anciens fortins allemands : les Feste Limburg et Feste Stein, avant-postes allemands verrouillant l’accès vers Wuenheim et Soultz. A 300 mètres de là, sur la droite du chemin, se dresse une imposante masse rocheuse de porphyre. C’est le Grossfelsen, ancien appui des premières lignes françaises du secteur Hartfelsenschloss-Rochedure. Un poste d’observation y a été creusé, probablement en 1916. Plus haut dans le vallon, une stèle rappelle qu’il y avait là un cimetière des chasseurs. La stèle a été érigée sur ordre du commandant Ratier, chef du 6e bataillon territorial de chasseurs alpins (BTCA). En suivant un sentier balisé par un triangle bleu, nous arrivons à une chapelle entièrement construite en bois en 1916 par le 7e BTCA sous les ordres du commandant Chicotot, en l’honneur d’un officier du 68e BCA, le capitaine Sicurani, mort au HWK au cours de l’offensive du 21 décembre 1915. Non loin de la chapelle, près du sentier balisé par une croix rouge, et après avoir dépassé un petit monument également érigé par le 6e BCTA, nous arrivons à l’éperon du Hartfelsen sur lequel se dressait jusqu’au XVIe siècle un château-fort dont on ne voit plus rien ; s’il en était resté quelques vestiges au début du XXe siècle encore, les événements de la guerre les ont fait disparaître. Nous revenons sur nos pas et nous prenons à gauche le sentier balisé par un rond jaune, direction la cache finale. C’est par ce même sentier que nous redescendons au fond du vallon, entre de petits fortins des anciennes lignes allemandes. Par endroits, la forêt a des aspects tels qu’ils devaient être en 1918, avec des troncs calcinés, certains couchés. Ce sont les effets conjugués de « Lothar » et d’un récent incendie. Avertissement. Cette promenade peut être faite en famille. Cependant, concernant les étapes 1 et 4, seules les personnes entraînées et bien chaussées devront y accéder. Pour la présentation du circuit nous nous sommes inspirés du bulletin n° 85 de la société d’histoire « Les Amis de Soultz », intitulé « Autour de la chapelle Sicurani ». Pour plus de renseignements, contacter «Les Amis de Soultz », 6 rue du Vignoble, 68790 Morschwiller-le-Bas ; mail : rouby.edouard @ orange.fr

mercredi 2 octobre 2013