On est au sud de Soultz (Haut-Rhin), au débouché de la rue Saint-Georges. Pas loin, à vol d’oiseau, de la RD83 et du carrefour du Nouveau-Monde. Il suffit cependant de s’avancer sur le chemin vicinal longeant ce que les Soultziens connaissent sous le nom de butte Saint-Georges (le Jergabargala) pour arriver, au-delà du petit pont sur le Wuenheimerbach, en vue du site du village disparu d’Alswiller. Aucune trace n’en rappelle aujourd’hui l’existence, brutalement interrompue en février 1376 par le funeste passage des « Anglais ». Possiblement les mêmes que ceux auxquels on doit peut-être la disparition de Bleienheim, entre Gundolsheim et Merxheim (n° 4 de notre série, L’Alsace du 5 août). Aucune trace, si ce n’est la stèle élevée là, peu ou prou à équidistance des clochers de Berrwiller, Hartmannswiller, Soultz et Wuenheim, pour commémorer, en 2009, la reconnaissance officielle de la communauté de paroisses « Saint-Georges au pied du Vieil-Armand ». De fait, le nom de Saint-Georges est r...