vendredi 30 octobre 2009
mercredi 28 octobre 2009
mardi 27 octobre 2009
lundi 26 octobre 2009
La mosquée des musulmans turcophones, la mosquée Eyyub Sultan dans le quartier de la Meinau à Strasbourg, va faire l’objet de travaux d’agrandissement. Mais le projet prévoit aussi la construction de quatre minarets. Et cela, les Alsaciens n’en veulent pas ! Ils l’ont exprimé en répondant massivement à la pétition lancée par le mouvement régionaliste Alsace d’Abord.
Car si la municipalité de Strasbourg devait autoriser la construction de ces minarets, nul doute que la communauté marocaine exigerait immédiatement la même chose pour la grande mosquée de Strasbourg qui est en cours de construction dans le quartier du Heyritz, près de centre administratif.
En même temps, d’autres projets sont en train d’être mis en oeuvre ou viennent de l’être :
- la création de cimetières spécifiques pour les musulmans sur le territoire de l’agglomération strasbourgeoise.
- la mise à disposition par la ville de Strasbourg au Conseil régional du culte musulman de bureaux en plein centre ville... place Kléber.
- augmentation des subventions accordées par les collectivités alsaciennes aux associations cultuelles musulmanes.
Toutes ces faveurs accordées à la légère par les élus PS et UMP, sans que les Alsaciens soient consultés, risquent de ne pas rester sans conséquences : récemment, le président du Conseil français du culte musulman, Mohamed Messaoui, est venu à Strasbourg demander l’extension à l’islam du régime concordataire des cultes reconnus en Alsace-Moselle.
dimanche 25 octobre 2009
jeudi 22 octobre 2009
mercredi 21 octobre 2009
A Rheinfelden (Bade) en Allemagne à une dixaine de kilomètre de la frontière alsacienne, trois haut-parleurs ont été installés en haut du minaret de la mosquée Alperenler à l'insu de la municipalité et des habitants.
Il y a environ trois semaines, la communauté turco-musulmane de Rheinfelden a installé trois haut-parleurs sur le minaret de la mosquée Alperenler pour l'appel à la prière.
La communauté turque s'était pourtant engagée à ne pas installer de haut-parleurs lorsqu'elle a reçu, en février 2002, l'autorisation de la ville pour la construction d'un minaret .
«J'ai le sentiment qu'on s'est fichu de moi», déclare Rolf Karrer, adjoint chargé de l'urbanisme. Il avait à l'époque signé l'accord entre la communauté et la ville. Dans la polémique sur la construction du minaret, M. Karrer avait intercédé en faveur des musulmans. Et non sans problème : « J'avais eu à l'époque beaucoup d'ennuis avec les citoyens qui étaient contre le minaret ». M. Karrer considère l'installation de haut-parleurs par la communauté islamo-turque, malgré l'accord, comme un abus de confiance. «Peut-être cherchent-ils à tester les limites » s'énerve-t-il. La ville ne compte pas se laisser faire. Les autorités seraient en train de statuer sur la question.
Du provisoire ?
Bedri Karakilinc, l'un des dirigeants de la communauté islamo-turque, estime lui n'avoir commis aucune faute. Au moment de l'autorisation de construction du minaret, seul un nombre maximum de décibels avait été fixé. Selon M. Karakilinc, les haut-parleurs ne seraient pas interdits. L'aménagement actuel comprenant des haut-parleurs de 30 Watts aurait été installé dans un emplacement prévu à cet effet mais également provisoire. Un électricien devrait bientôt changer l'installation pour la remplacer par une autre.
Bien que les haut-parleurs n'aient été utilisés que le vendredi (le jour de la semaine le plus important pour les musulmans), personne ne s'était encore plaint du volume. Jusqu'à vendredi dernier. Un habitant de Rheinfelden a entendu la voix du muezzin jusqu'à l'entreprise Gottstein située en face, et ce alors que la porte était fermée. Il a écrit au Maire, M. Niethammer, en lui demandant si l'installation était autorisée.
Volume limité
"Il existe un accord très clair, selon lequel l'appel à la prière du minaret doit être réalisé uniquement à la voix, sans aucune amplification électrique », déclare M. Niethammer, qui a appris l'existence de l'installation lundi matin. Aucun volume maximum n'a jamais été établi, insiste-t-il. Le sujet étant très délicat, il souhaite encore se pencher en détails sur la question avant de rendre un verdict.
Werner Ross de l'association islamo-chrétienne de Rheinfelden est profondément déçu : « muet et désemparé", dit-il. M. Ross milite comme président de l'association pour une meilleure cohabitation entre les musulmans et les personnes d'autres confessions. L'installation de haut-parleurs provoquera immanquablement l'indignation des gens contre la communauté islamo-turque. De la même manière, une partie du travail de M. Ross serait réduite à néant. En effet, la communauté avait jusque là réussi à avoir bonne réputation. Tout dernièrement, lors du week-end il y a deux semaines, les musulmans avaient organisé la journée annuelle portes ouvertes de la mosquée.
Un abus de confiance
M. Ross ne s'explique pas le comportement des dirigeants de la communauté : « je pars du principe que les responsables de la communauté savent qu'ils ne doivent pas installer de haut-parleurs ». Il s'est montré très surpris, car la communauté avait jusqu'alors toujours déclaré qu'elle ne voulait en aucune circonstance créer des provocations.
M. Ross a lui-même également appris l'existence des haut-parleurs lundi. Dans une récente réunion de l'association islamo-chrétienne, pas un mot du dirigeant de la communauté islamo-turque. M. Ross s'apprête maintenant à statuer avec ses collègues de l'association sur cette « rupture de confiance ». Pour lui, il n'y a qu'une solution : la communauté islamo-turque doit enlever ses haut-parleurs.
Source en allemand :
mardi 20 octobre 2009
MULHOUSE (Haut-Rhin) - Vingt-sept ans après les faits, le meurtrier allemand d'une Française de 14 ans, Kalinka Bamberski, a été livré à la justice française, et une information judiciaire a été ouverte mardi contre le père de la victime mardi pour enlèvement, séquestration arbitraire, coups et blessures volontaires en réunion et association de malfaiteurs.
Soupçonné de kidnapping, André Bamberski, 74 ans, "encourt pour ces fait 10 ans de prison", a déclaré le procureur de la République de Mulhouse, Jean-Pierre Alacchi, lors d'un point presse.
Le procureur a également requis une remise en liberté "sous contrôle judiciaire strict" à l'encontre de M. Bamberski.
"C'est une personne âgée, il ne m'a pas semblé nécessaire de le placer en détention provisoire", a-t-il dit.
"M. Bamberski ne reconnaît pas les faits (...) et ne coopère pas pour l'instant, mais il reconnaît avoir surveillé M. Krombach et avoir engagé des détectives privés à cet effet", a indiqué M. Alacchi.
"Il a eu l'honnêteté de reconnaître qu'il n'acceptait pas que le meurtrier de sa fille ne soit pas extradé", a-t-il ajouté.
Le procureur a également relevé, parmi les "indices non négligeables réunis à son encontre", ses relations téléphoniques avec les ravisseurs présumés.
Au moins un des auteurs de l'agression, un ressortissant allemand ou autrichien, a été arrêté en Allemagne et aurait reconnu sa participation à l'enlèvement, a précisé la même source.
"On a trouvé dans son hôtel 19.000 euros ainsi que de l'argent sur lui", selon le procureur. Reste à établir à quoi était destiné tout cet argent, et notamment s'il devait servir à payer les ravisseurs, et quelle était la raison de la présence de M. Bamberski à Mulhouse, a-t-il déclaré.
Le beau-père de la jeune Kalinka, le cardiologue allemand Dieter Krombach, a été retrouvé ligoté et bâillonné et blessé au visage dimanche matin, à 3h50, à proximité du tribunal de Mulhouse, sur un appel téléphonique d'André Bamberski.
Le procureur de Mulhouse a indiqué qu'un mandat d'arrêt avait été notifié à M. Krombach.
Après une brève hospitalisation, Dieter Krombach est maintenant à la maison d'arrêt de Mulhouse et son transfèrement au parquet de Paris a été requis.
M. Krombach est sous le coup d'une condamnation par contumace à 15 ans de prison par la cour d'assises de Paris pour sa responsabilité dans la mort de Kalinka Bamberski.
Dans cette affaire, la France avait été condamnée en 2001 par la Cour européenne des droits de l'Homme pour procédure inéquitable, car il avait été jugé par contumace sans défenseur, le droit français ne permettant pas à l'époque qu'il soit représenté par un avocat à son procès d'assises, en son absence.
Son avocat parisien, Me François Serres, qui a obtenu la condamnation de la France devant la Cour européenne, a indiqué qu'il allait "attaquer le titre de détention" et "demander la libération de (son) client". Il entend, a-t-il dit, attaquer "l'exécution d'une décision de la justice française qui a été sanctionnée par la Cour européenne des droits de l'Homme".
L'avocat d'André Bamberski s'est pour sa part dit très satisfait que M. Krombach soit sur le territoire français.
"Quelle que soit l'origine de cette présence" sur le territoire français, "c'est une satisfaction évidente de savoir que M. Krombach est sous la main de la justice française", a ajouté l'avocat qui attend de cette présence des "conséquences procédurales très importantes et très positives".
dimanche 18 octobre 2009
Comme nous l'avons déjà précisé, si vous souhaitez garder la suprise, ne cliquez pas, surtout que certains des extraits dévoilent beaucoup les chansons en question.Lien : http://stormbringer.at/news.php?id=12971
vendredi 16 octobre 2009
mardi 13 octobre 2009
lundi 12 octobre 2009
of the fire, and as of October 1, 2009, the fire was estimated to be 3,764 hectares (9,300 acres) in size.